Premier contact en terre tanzanienne

Après 24h de voyage, le passage de douane (sans encombre malgré une situation pas tout à fait dans les clous…), la validation sanitaire après la prise de température… dans les cheveux !, la récupération complète des bagages malgré les 3 escales, une longue attente pour le paiement des visas, on autorise nos petits épuisés et affamés à manger des chips par terre dans l’aéroport à 9h du matin. Le premier de nos renoncements éducatifs et diététiques ne s’est pas fait attendre !

On traverse ensuite Dar Es Salaam à bord d’un taxi qui constitue le premier souvenir marquant d’Aliocha : les petits rideaux froncés aux fenêtres ont subjugué son sens de l’esthétique et du confort. Les maisons, la végétation, les couleurs, la chaleur, la poussière, le monde… «ça me rappelle la Côte d’Ivoire… » s’émeut Lisette.

Oui, il y a l’ambiance des grandes villes africaines, mais il y a aussi clairement des influences indiennes (tuk-tuk qui filent en klaxonnant entre les motos et les camions…), des influences arabes (femmes voilées, façades ciselées…) et sûrement encore beaucoup d’autres particularismes qui nous échappent pour le moment.

 

On s’offre un petit déjeuner sous les arbres de la guesthouse, une grande sieste collective et un petit tour à la plage voisine pour ressentir un peu l’ambiance de cette capitale. Nous sommes les seuls occidentaux sur cette plage pourtant réputée. On met les pieds dans l’eau et on observe. Finalement, rien de très différent : les adultes sirotent des boissons fraîches, les enfants font des pâtés de sable, pataugent et s’éclaboussent, les plus grands se baignent, A ceci près que tout le monde reste… intégralement habillé. On prend note.



 

 

Commentaires

  1. Ouf ! À partir de maintenant, les emmerdes vont enfin pouvoir s’appeler des aventures. Profitez-en aussi !

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