Cette descente du Nil est mythique, on traverse un bout de l’Égypte tout en douceur et on réalise à quel point cette vallée est le seul endroit fertile du pays. La verdure qui borde le fleuve n’est qu’un mince filet à fleur de désert, filet parfois légèrement plus étendu quand des systèmes d’irrigation le permettent.
Le bateau est évidemment confortable, le service hôtelier ravit nos enfants qui, seuls représentants de leur génération, deviennent les mascottes de l’équipage. De nouveau, les selfies ne cessent de remplir les portables des uns et des autres !
Sur le trajet, nous faisons des haltes permettant d’accéder à des sites antiques qui ne sont pas au cœur des villes. L’un d’eux, Edfou, présente encore la toiture en pierre d’origine, ce qui en fait un lieu agréable où déambuler au frais ! On imagine ainsi mieux l’ambiance de l’époque.
Edfou
Et... que trouve-t-on dans ce temple clos ?
Kom Ombo
L’arrivée à Assouan, de nuit, est assez magique. Comme à Louxor, les deux rives sont habitées. La ville semble plus urbanisée et plus moderne que Louxor. Nous n’y restons néanmoins que peu de temps, ayant décidé après quelques péripéties médicales (voir article suivant) et une chaleur devenant insupportable, de quitter l’Égypte.
Nous prenons un vol à destination du Caire, afin de récupérer en suivant notre vol international. Enfin, on l’espère... Le timing est serré mais nous n’avons pas le choix, car les résultats de nos tests covid ne doivent pas excéder 48h entre le prélèvement et l’arrivée !
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